Quel drôle de nom ! CHAVRIER ID !

Dans mon univers professionnel, on me surnomme « la machine à trouver des solutions ».

Effectuer une recherche sur l’état du droit et l’appliquer au cas d’espèce, c’est la base du métier. Cela répond à une question juridique précise. Mais les personnes publiques (et privées) ont besoin aujourd’hui de stratégies juridiques ! Elles ont besoin de savoir comment utiliser autrement les outils juridiques existants, pour aller plus loin, en l’absence des réformes attendues. Elles ont besoin aussi qu’on fasse avancer le droit, en proposant à l’exécutif ou au Parlement des réformes qu’ils peuvent accepter … 

 

Cela tombe bien, car avoir des idées (ID, phonétiquement), c’est dans mon ADN, c’est mon identité. En langage informatique, on dirait : c’est mon ID.

Ce que je suis se résume également autrement : je suis universitaire, je suis consultante, et ces deux activités doivent coexister déontologiquement. Lorsque je travaille avec les pouvoirs publics, ils doivent savoir si mon conseil présente l’objectivité de l’universitaire ou la démarche partiale du consultant. C’est important pour moi.

Ainsi, depuis des années, je conseille aussi bien le monde local en tant que consultante, que l’exécutif en tant qu’universitaire (demandes d’audition par des ministres pour dialoguer sur une question, un projet de loi…) ou le législateur en tant qu’universitaire et parfois en tant que consultante (très, très nombreuses auditions parlementaires, conférences auprès des groupes parlementaires sur un point de droit, rédaction de propositions de lois et d’amendement, rédaction d’observations pour la saisine du Conseil constitutionnel ou de QPC, ou encore de portes étroites).

Je suis des deux côtés de la barrière de la libre administration parce que je suis foncièrement – profondément – décentralisatrice tout en croyant encore en l’Etat. Je pense que, avec des IDEES, dans un cadre républicain Indivisible (le I) on peut aller très, très loin dans la décentralisation (le D), et ceci dans l’intérêt de la bonne gestion publique…et des citoyens.     

C’est en tous cas ce que je fais depuis plus d’une décennie maintenant, parallèlement à ma vie d’universitaire (je suis professeur agrégé de droit public à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et parallèlement à ma vie d’avocate of counsel chez FIDAL qui s’achève à la rentrée 2021. Je ne peux plus tout faire, 3 engagements professionnels c’est trop. Fidal aura été une magnifique aventure de 11 années, qui m’a permis de revenir à mes débuts, en 1997-1998, lorsque j’ai prêté serment devant la Cour d’appel de Paris. Mais je suis fondamentalement une experte, une conseillère.

Pour finir, le droit de la décentralisation et des collectivités territoriales, c’est toute ma vie depuis 1992, lors de ma deuxième année en section service public de l’Institut d’Etudes Politiques. Mais je viens de passer de nombreuses années à faire du droit constitutionnel en cabinet (après l’avoir longtemps enseigné à l’Université), pour les privatistes, les publicistes, les fiscalistes : j’ai rédigé de nombreuses QPC pour eux, ou fouillé le droit à la recherche d’éventuelles inconstitutionnalités à contester.

J’ai aussi beaucoup travaillé sur le droit des aides d’Etat, et globalement sur les activités concurrentielles du secteur public. Ou encore plus globalement, sur le droit public (actes, police, responsabilités, compétences matérielles, etc).

Alors, si vous cherchez des idées pour démêler vos dossiers, vos projets, vos contentieux, si vous cherchez un consultant, un conseil, une assistance dans la négociation avec l’Etat, un rédacteur de proposition de lois, etc, je suis là : le cabinet Géraldine Chavrier a des ID(ées) !